
Au nom d'ALLAH le tout miséricordieux
Un garde suisse aurait été harcelé 
sexuellement
 

G.*, ancien membre de la garde pontificale, explique que le  Palais des Papes est un lieu de «chasse» pour les hommes d'église  homosexuels. Il explique avoir reçu de multiples avances.
On a prêté à un scandale d'orgies homosexuelles la  raison de la démission du pape Benoît XVI. A la mi-2013, le nouveau chef  de l'Eglise, le pape François, expliquait que si les faits se  vérifiaient, des mesures seraient prises. 
Cette révélation a permis aux langues de se délier. Surtout  pour G.*, qui a servi dans la garde suisse. Dans les colonnes de la «Schweiz am Sonntag»,  il explique avoir reçu jusqu'à 20 offres de cardinaux, évêques et  autres prêtres pour des parties fines. Il raconte notamment avoir été  appelé en pleine nuit et invité dans la chambre d'un haut-dignitaire.  Dans un autre cas, il a trouvé dans sa chambre une bouteille de whisky,  avec la carte de visite d'un évêque. Ou encore, un carton d'invitation  pour un souper où le garde suisse servait de «dessert».
G.  n'a pas hésité à se plaindre à sa hiérarchie de ce harcèlement, mais,  selon ses dires, n'a reçu aucun soutien. Interrogé par le dominical, Urs  Moser, porte-parole de la garde pontificale, déclare, sans s'exprimer  sur les faits dénoncés par G. que «la rumeur d'un réseau homosexuel au  sein du  vatican  n'est pas un problème» et que «les préoccupations des  gardes sont avant tout religieuses et militaires». 
Reste  que G. porte un regard désabusé sur l'église catholique et ses  représentants. Il ne comprend pas l'«hypocrisie» de ceux qui combattent  le sexe hors-mariage et soutiennent l'excommunication des divorcés. Il  doute aussi que le pape François change quoi que ce soit à la situation,  tant le «lobby» homosexuel est fort à Rome. 
Sur le  papier, G.* est toujours catholique. Mais il explique ne presque plus se  rendre à l'église. C'est chez lui qu'il pratique sa religion. 
source :
schweizamsonntag.ch
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