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* ÅÓáÇãí ÚÒøí * 01.08.2011 17:54

Corrigez vos informations vol. 4
 
:26:


Au nom d 'Allah le tout misécordiuex

:10: La correction infligée à la femme :10:



Allah (l'Unique) dit :


Quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez pas de voie contre elles. (Sourate 4: An-Nissa, verset 34.)

L’Islam a interdit de frapper la femme et a sévèrement mis en garde contre une telle attitude, parce qu’elle est généralement faible et incapable de se défendre. Le Prophète mohammad (psl) a dit:

«
Qu’aucun de vous ne frappe sa femme comme on frappe un esclave alors qu’à la fin du jour il coïtera (peut-être) avec elle ». (Al Boukhari (5/1997), hadith n° 4908.)

Malgré cette interdiction, il a permis de la corriger, en cas de nécessité extrême et dans des circonstances spéciales, lorsque la femme se révolte contre son mari, en lui désobéissant sans raison valable.

Dans ce noble verset, Allah (l'Unique) a expliqué les voies à suivre pour traiter la rébellion de la femme contre son mari –la pilule est parfois amère mais l’homme l’accepte afin de parvenir au bien escompté-, en trois étapes.

Première étape :

l’étape du conseil, de l’exhortation, de l’intimidation par l’évocation du châtiment d’Allah, le rappel des droits du mari et de l’obligation de lui obéir. Cette phase se caractérise par la douceur dans la parole et l’affection. Si cette phase n’a pas été concluante, on passe à l’étape suivante.

Deuxième étape :

L’étape de la mise en quarantaine dans le lit qui consiste à s’abstenir d’avoir des rapports avec elle, à lui tourner le dos au lit et ne plus lui adresser la parole. Dans cette phase, on joint la douceur à la dureté. Si ce traitement n’a pas été efficace, on passe à l’autre étape.

Troisième étape :

La phase de la correction qui doit se faire sans violence, c’est-à-dire : sans lui faire de fracture, ni laisser de marque et en évitant le visage, car le but c’est de rétablir la discipline et non de lui faire mal, et de lui faire comprendre que son acte est inadmissible. Répondant à un homme qui lui avait demandé quel est le droit de l’épouse sur l’époux, le Prophète (psl) a dit :
«
C’est la nourrir quand tu te nourris, l’habiller quand tu t’habilles, ne pas frapper son visage, ne jamais lui dire : “Que Dieu l’enlaidisse !” et ne pas la mettre en quarantaine en dehors de son foyer ».(Ibn Hibbane (9/482), hadith n° 4175.)

Cette correction a donc comme condition de ne pas viser la coercition, l’assujettissement, le mépris, l’humiliation ou la déprédation. Il est rapporté qu'Ibn Abbas a expliqué dans son commentaire de ce verset que la correction se fait avec la petite tige utilisée pour brosser les dents (siwâk) ou quelque chose de similaire
.


Cette correction s’applique à deux catégories des femmes, ainsi qu’elles ont été établies par les psychologues :
Première catégorie :

Les femmes autoritaires : ce sont celles qui éprouvent un plaisir à braver leurs maris et à les assujettir .

Deuxième catégorie :

Les femmes soumises (masochistes) : Ce sont celles qui éprouvent le plaisir à être frappées et à souffrir.
G-A-Hodfield, un psychologue européen dit dans son livre La Psychologie et l’Ethique : « L’instinct de soumission s’accroît et la personne éprouve du plaisir à être assujettie et est ainsi heureuse de supporter la douleur. Cet instinct est très répandu chez les femmes, même si elles l’ignorent, c’est pour cela qu’elles sont connues pour leur capacité à mieux supporter la douleur que les hommes. Ce type de femme est plus impressionné par son mari chaque fois qu’il la frappe et la brutalise et il n’y a rien de plus pathétique pour ce genre de femmes qu’un mari toujours trop doux qui ne se révolte jamais malgré la provocation ».

La correction physique n’est intervenue qu’en dernier lieu dans les différentes phases du redressement et de l’éducation. L’Islam n’autorise le recours à celle-ci que si l’exhortation et la mise en quarantaine n’ont pas servi, de même, on ne recourt pas à cela avec une femme qui préfère le divorce à la correction. Il est à noter que la discrétion est de mise dans l’application de ces étapes : il faut que cela se passe entre les époux, hors de la vue des enfants et des proches. La correction est considérée comme un des moyens de la discipline et de l’éducation. Le père par exemple corrige son fils, le maître son élève dans le but de les discipliner et les éduquer.
Ensuite Allah (l'Unique)a indiqué à la fin du verset que cette mesure disciplinaire est suspendue dès lors que la femme devient obéissante, Allah (l'Unique) dit en effet :

Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes Haut et Grand. (Sourate 4 : An-Nissa, verset 34.)

Ceci prouve que le but visé par ces différentes phases est le rétablissement de l’ordre à travers lequel l’Islam veut préserver la famille de la dislocation, éviter la dispersion des enfants et les conséquences psychologiques qui accompagnent inéluctablement les divorces.

Il est peut être opportun de mentionner ici quelques statistiques françaises qui indiquent que le nombre des femmes qui ont été violemment frappées par leurs maris a atteint des nombres imaginaires:



ÇÞÊÈÇÓ:

Femmes battues: des chiffres qui font mal



Les violences conjugales ont causé en
2007 la mort de 166 femmes en France, soit une hausse de 30% par rapport à 2006 et près d'une victime tous les deux jours, apprend-on à l'occasion du lancement d'une campagne nationale d'information.




Les violences conjugales ont causé en 2007 la mort de 166 femmes en France, en hausse de 30% par rapport à 2006, selon le secrétariat d'Etat à la Solidarité qui a lancé jeudi une campagne nationale d'information contre la violence faite aux femmes.
En 2006, 137 femmes étaient décédées sous les coups de leur conjoint, selon la même source.
Selon des chiffres de l'Observatoire national de la Délinquance (OND), 410.000 femmes ont déclaré avoir été victimes de violences physiques de la part d'un conjoint ou ex-conjoint en l'espace de deux ans, selon une enquête de victimisation portant sur 2005-2006.








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